Anniversaire Crieur public

2. Team spirit

Un collectif se crée autour du Crieur Public

Le Crieur Public devient Crieur Public : une (simple) histoire de logo ?

Notre « le » a disparu quelques années après la création de l’agence, vous l’aviez remarqué ? La véritable raison ? Pour simplifier le design du logo (en voilà un secret bien gardé !). Mais une fois allégé, notre nom nous est apparu comme une évidence.
C’était l’affirmation d’un projet individuel qui devenait collectif. Comme quoi, le design fait souvent sens ! (Poke adb léon 😉).

Fabienne et Arnaud, les premiers Crieurs autour de Thierry

Le talent commercial de Thierry attire de plus en plus de clients autour de lui. Deux ans après la création du Crieur Public, Fabienne Defour rejoint Thierry dans l’entreprise.

« Je travaillais avec elle dans ma précédente agence. Elle avait ce profil de couteau suisse qui permettait de toucher à tout.
Et en 2007, c’est Arnaud qui nous rejoint. Il a été mon premier stagiaire ! Ensuite les choses sont allées très vite. »
Thierry

« Pour l’entretien, j’ai débarqué dans une maison à Couzon-au-Mont-d’Or, au 2e étage, dans une pièce un peu old school et confortable. 
Avec Thierry on a parlé de théâtre, de 4L…  Après ça j’ai rejoint l’agence en stage.
Quand je suis arrivé, je me suis rendu compte qu’au-delà de rejoindre Thierry et Fabienne dans un petit bureau, je rejoignais un écosystème. Un collectif de professionnels qui avaient quitté des grosses agences pour se mettre à leur compte. Et je me suis intégré là-dedans comme un poisson dans l’eau. »
Arnaud Delattre

"J’ai vraiment eu le sentiment que le Crieur Public ouvrait la voie particulièrement dans le secteur du bâtiment, il fallait vraiment convaincre. On défrichait, on ouvrait la voie vraiment, parce que c’était des leviers qui n’avaient encore pas été utilisés dans la communication."

Fabienne Defour - Première fidèle

Un écosystème avec la liberté comme ADN

« Soyons des indépendants libres, mais ensemble ». C’est l’idée « idéaliste » qui nourrit l’écosystème créé autour de Thierry les premières années du Crieur Public.
Laurent en concepteur-rédacteur, Mathias en développeur web, Marc en Direction Artistique, Raph en spécialiste de l’événementiel…
Un collectif solide et soudé, créé pour répondre aux besoins de ses clients. Déjà une agence ?

« C’est vrai que j’avais déjà cette ambition de fédérer autour de moi, mais eux aussi avaient besoin de moi, on avait tous besoin les uns des autres et en plus, on s’appréciait.
J’avais additionné les compétences nécessaires aux besoins de mes clients, mais recréer ce que je venais de quitter en rassemblant 30 personnes, ça n’était pas mon projet.
J’avais surtout besoin de compléter mes compétences, qui n’étaient pas créatives notamment. Je savais bien gérer, rédiger, mais j’avais besoin d’un DA, d’un CR, etc. ». 
Thierry

« Je suis arrivé au moment où Thierry avait créé son modèle. Lui était attaché de presse et chef de projet print et web. J’ai donc touché à tout. On pouvait tout s’autoriser pour peu qu’un client nous demandait de le faire. »
Arnaud Delattre

“ Le fait que Thierry s'engage dans des nouveaux chemins, des nouvelles aventures, en particulier le web, je sentais que ça montait en puissance... aussi avec l'arrivée de Fabienne et d'Arnaud et que ça n'allait pas s'arrêter ! ”

Mathias Bouvier - adb Leon - partenaire du premier jour

« Mon anecdote incroyable.
On part faire un voyage de presse pour Dewalt au Mans. On loue une caméra, je n’avais jamais utilisé une caméra de ma vie. Et je me retrouve à filmer pendant deux jours. Parce qu’on a besoin de ce support pour le client.
On rentre, je donne tout à un monteur. On s’aperçoit que toutes les images sont surexposées.
Bon, on a quand même monté la vidéo.
Ce que j’en retiens, c’est le sentiment fou de liberté, de m’être dit que tout était possible. La confiance et le feeling étaient là. »
Arnaud Delattre

Ah… Josiane…

Josiane sa cuisine, sa table de ping-pong qui se sera étendue à presque toutes les pièces ou terrasses de la Villa. Son ambiance, Michel l’écureuil, les petits moutons, la barque en bois, la verdure, le chant des oiseaux.
Et pourtant oui, on travaille ici ! 
En 2007, d’une maison de famille, Thierry fait de la Villa un lieu familial. Capitalisant sur le caractère de la maison, son espace et son côté atypique pour y installer sa bande.
Dans les premiers temps, le garage est un garage, et une dizaine de personnes s’installent dans les étages.
De son bureau de 10m2 à ses débuts en centre-ville de Lyon, Thierry pose ses valises et son équipe dans un lieu plus que convivial, et ce pour de nombreuses années.

« Au-delà d’aimer travailler ensemble, on avait cette envie commune de créer un univers confortable.
On aimait se dire que les clients allaient venir et qu’on allait les accueillir autour d’une table, qu’on allait manger avec eux et que ça allait être aussi important que de travailler. Et c’est un peu toujours cela, la Villa Josiane. »
Thierry Pouzol

CLIN D’ŒIL DANS LE RÉTRO
Aujourd’hui l’IA prend de la force ; à l’époque, quels étaient les outils ?

Pour Thierry : Facebook offre alors une puissance phénoménale.
« Je me souviens à l’époque avoir passé du temps à décortiquer ce fameux Facebook, à l’exploiter à titre personnel pour me rendre compte que c’était d’une puissance phénoménale. 
J’ai saisi l’ampleur de tout cela quand on a travaillé la marque Harley Davidson. Une marque qui avait une histoire et entrait littéralement chez les gens, en travaillant son ADN, celui du motard. On pouvait écrire toute une ligne éditoriale propre à la marque et la déployer sur un réseau social dans lequel tout le monde s’engouffrait à vitesse grand V.
C’était génial ! Au milieu de tout ça, on avait une place à prendre. »

3. La voie du bâtiment

Le Crieur Public se spécialise et consolide son modèle
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